Aller au contenu

Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/107

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



IX


                  — Mon mari est messager.
                  Moi je garde la maison.

                  — De le voir tant voyager
                  Ne te vient-il nul soupçon ?

                  — Qu’il voyage nuit et jour !
                  Je suis seule et j’ai la paix.