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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/129

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III


            Pourquoi d’un nouveau paysage
            Ne pas faire un nouvel ami ?
            Pourquoi ne se sentir soumis
            Qu’à l’unique amour d’un visage ?

            Comme on serait libre en son cœur
            D’une infidélité si tendre
            Et qu’on aurait de joie à prendre
            Le sourire de toute fleur !