Aller au contenu

Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/147

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



X


Mais je ne vous ai pas appelée mon amie !
            Laissez donc mon amour…
Peut-être mourra-t-il, d’avoir vécu sa vie,
            Avant la fin du jour.

Il a les yeux fermés… Ne touchez ses paupières…
            Il ne doit plus vous voir.
Si vous savez prier, faites une prière ;
            C’est votre seul pouvoir.