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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/90

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Déjà l’odeur des buis mêlée à son amour
Lui donnait le désir de se donner au jour.
L’été capricieux déployait ses arcades,

La pièce d’eau luisait comme un lit de satin.
Et Pauline Borghèse, amante de Forbin,
Distraite et le corps nu jouait à la naïade.