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Que vous n’ayez jeté dans mes mains immobiles
Le glaive et le laurier ?
Je suis seul et mon cœur au courage stérile
Pleure, sacrifié.
Mes yeux que le destin dépouille de lumière
Ne sont pas assez morts.
Seigneur, comblez ma nuit si l’éclat de la guerre
Doit enchaîner mon corps.