Aller au contenu

Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/110

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

CONSOLATION

Si, sur un amour solitaire
Tu laisses ton cœur se fermer ;
Si tu ne crois pas que, sur terre,
On peut plus d’une fois aimer,
Et si ta douleur ancienne
Te consume en regrets charmeurs,
Ô pauvre âme, sœur de la mienne,
Meurs !