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Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/65

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LES AILES D’OR

Ce long bruissement, cet invisible chœur
Qui, vers l’aurore, élève un éternel hommage
Me semble, — tant, pour moi, tout vit en ton image !
S’élancer à tes pieds et monter de mon cœur.