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Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/78

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LES AILES D’OR

Cette souffrance vague aux plaintes éternelles,
Ces larmes qu’à nos yeux met un obscur regret,
J’en veux, dans ce silence, écouter le secret,
Laissant pleurer, en moi, les choses fraternelles.