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Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/81

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LES AILES D’OR

D’un ironique éclat le destin nous poursuit.
Car, sous le faix maudit d’une gloire inconnue,
Durant l’éternité nous saignons dans la nue,
Et, pleines de rayons, nous vivons dans la Nuit !