Aller au contenu

Page:Sonnets gaillards et priapiques, 1903.djvu/14

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
10
AVANT-PROPOS

Qu’importe d’ailleurs, le mystère qui les entoure, ils n’en demeurent pas moins un témoignage précis des mœurs et de l’esprit d’une époque curieuse de notre histoire.

UN BIBLIOPHILE INCONNU.

Note de l’Éditeur. — Ainsi qu’on le remarquera, le copiste de Conrart altéra parfois le texte des vers qu’il recueillit, en leur imposant une orthographe postérieure à leur création. Quoique opposés par principe à ce travestissement, nous nous sommes gardés d’en rien changer. Dans bien des cas d’ailleurs, la version du manuscrit où nous avons puisé, doit être considérée comme originale, sinon définitive.