niques ; l’homme par son génie, tendait peu à peu à faire du monde extérieur un prodigieux laboratoire parfaitement agencé, et exigeant à peine une surveillance insignifiante.
Devant l’abondance et la surabondance des richesses, la journée de huit heures, par la force seule des choses, ne tarda pas à se réduire à six, à quatre, puis à deux heures ; bientôt même la moindre assiduité quotidienne devint superflue ; l’outillage des manufactures se chargeait amplement de subvenir aux besoins, de la consommation, pourvu que chaque citoyen lui consacrât quelques instants de sa semaine. À la fin, on jugea plus simple, pour ces corvées, d’entretenir collectivement un certain nombre d’ouvriers chinois ; et, comme il était à craindre que la présence de ces étrangers constituât