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Page:Spronck - L’an 330 de la République.djvu/82

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le plus somptueux de jadis, l’homme, heureux et libre, connaissait pour la première fois le règne de la justice, de la fraternité et du progrès. S’il lui restait encore quelques réformes à accomplir, la science étendait chaque jour ses conquêtes et lui offrait l’espoir d’un développement illimité dans la voie victorieuse où désormais il marchait d’un pas sûr.