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Page:Staël - Œuvres inédites, II.djvu/269

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SOPHIE.

La ruse est si innocente, que vous-même vous l’approuverez.

M. DE LA MORLIÈRE.

Je voudrois savoir…

SOPHIE.

Vous le saurez tout à l’heure ; suivez-moi chez mon oncle. Je consens à vous obéir, si M. d’Erville lui-même ne vous dégage pas de votre promesse.

M. DE LA MORLIÈRE.

Allons, je veux bien te suivre ; mais je n’augure rien de bon de tout ceci.


FIN DU PREMIER ACTE.