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Page:Staël - Œuvres inédites, II.djvu/339

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et ne valoit-il pas mieux me laisser descendre dans les abîmes, où j’aurois emporté ma gloire, que de montrer à tous les regards ma honte et ma foiblesse ? Vous l’avez voulu ; c’en est fait. Adieu.

(Elle sort.)
DIOTIME.

Trop malheureuse Sapho !

ALCÉE.

Ah ! quelle funeste issue d’un jour qui avoit commencé sous de si brillans auspices ! Allons dissiper, par nos sacrifices, la douleur que ressent le dieu de l’harmonie, de se voir méconnu par celle qu’il préféroit à tous les mortels.


FIN DU SECOND ACTE.