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Page:Stendhal - Les écrits érotiques de Stendhal, 1928.djvu/22

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Seymour etc., vient bien d’une bonne tête dramatique, mais, en fin de compte, mon pauvre Olivier est odieux. Les gens sages diront : « Que diable ! quand on est Babilan, on ne se marie pas. Olivier vient gêner sa femme et lord Seymour, qu’il s’en aille, bon voyage. » Le Babilanisme rend timide, autrement rien de mieux que de faire l’aveu. Ce mari du lundi, Maurepas, Tournelle, l’ont bien fait. M. de la Tournelle est mort désespéré et amoureux fou de sa femme. Olivier, comme tous les Babilans, est très fort sur les moyens auxiliaires qui font la gloire du Président. Une main adroite, une langue officieuse, ont donné des jouissances vives à Armance. Je suis sûr que beaucoup de jeunes filles ne savent pas précisément en quoi consiste le mariage physique.

Je suis également sûr de ce second cas