Aller au contenu

Page:Stendhal - Pensées et Impressions, 1905, éd. Bertaut.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
88
PENSÉES



Il me semble qu’il faut du courage à l’écrivain presque autant qu’au guerrier ; l’un ne doit pas plus songer aux journalistes que l’autre à l’hôpital.