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Page:Stendhal - Rome, Naples et Florence, III, 1927, éd. Martineau.djvu/215

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ressorts de mon âme ont été nourris et fortifiés ; je me sens rajeuni. Les gens secs ne peuvent plus rien sur moi ; je connais la terre où l’on respire cet air céleste dont ils nient l’existence ; je suis de fer pour eux.

fin du journal.