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Page:Sterne - Œuvres complètes, t3-4, 1803, Bastien.djvu/443

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voici déjà une couronne pour t’aider à arroser ton brevet. » —

« Eh ! bien, dit le caporal, faisant d’abord une révérence pour son brevet, il faut prendre dans le grand coffre les habits galonnés de monsieur ; — il faut raccommoder les manches de celui qui est bleu et or. — Je retaperai à monsieur sa perruque à la Ramillies, et j’aurai un tailleur pour retourner ses culottes d’écarlate. » —

« J’aimerois mieux celles de pluche rouge, dit mon oncle Tobie. — Monsieur n’y pense pas, dit le caporal. »



CHAPITRE LVIII.

Il n’omet rien.


« Tu mettras un peu de blanc d’espagne à mon épée, et avec une brosse..... — Que monsieur ne s’embarrasse de rien, répliqua le caporal. »