Aller au contenu

Page:Stevenson - Le Roman du prince Othon.djvu/308

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
292
LE ROMAN DU PRINCE OTHON

n’existe plus maintenant ; a lu mes Remarques sur la Sicile qui lui rappellent la manière de mon oncle, mais avec plus de grâce. Exprimé ma crainte qu’elle n’y eût rencontré moins de vigueur ; m’a assuré que non : une façon plus avenante de représenter les choses, plus de grâce littéraire, mais bien la même force de conception. Bref, juste ce que m’en disait Buttonhole. Fort encouragé. Je ressens une estime réelle pour cette patricienne. »

Ces rapports, apparemment, durèrent quelque temps, et quand M. Cotterill partit à la suite de Lord Protocol (et à bord du vaisseau de l’amiral Yardarm, ainsi qu’il a soin de nous en faire part) ; une des choses qui lui causèrent le plus de regrets fut de quitter « cette femme si spirituelle et si sympathique, qui me considère déjà comme son frère cadet ».



FIN