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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/11

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Celle-ci, s’avançant avec empressement vers Maria, lui dit avec la plus gracieuse affabilité :

— Je suis heureuse, Madame, d’avoir l’honneur de vous recevoir ici ; je sais que vous et M. Fauveau êtes les meilleurs amis de M. Bonaquet ; puis-je espérer que vous m’accorderez un peu de cette bonne amitié que vous avez pour mon mari et à laquelle il est si sensible ?

— Madame… — répondit Joseph en saluant de son mieux, — Madame… certainement…

— Tenez, Madame, reprit vivement Maria, — je n’irai pas, moi, par quatre chemins, je vous dirai tout de suite : vous avez