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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/252

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venir ce prince que l’enfer confonde ! — reprit Fauveau. — Il te renverrait de chez lui.

— Et chargerait un autre que moi de ses poursuites contre ta femme. Or tu sais quels malheurs cela pourrait amener.

— Tiens, Anatole, je me ferais plutôt hacher en morceaux que de renoncer à nos projets. Non, non, Jérôme ne saura rien… je t’en ai donné ma parole, mon ami. — Et s’adressant à Maria d’un ton impérieux : — Tu entends, pas un mot de tout ceci à Jérôme ni à sa femme quand nous les reverrons.

— Pourtant, Joseph…

— Ah ! tu prends le parti du prince ! —