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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/266

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tournée, que je puis, par compensation, donner, sans me compromettre, des lettres de recommandation à de beaux jeunes gens. Je n’ai pas besoin de te dire que ce n’est pas à toi, mais à ta chère mère, que j’adresse M. Ducormier ; elle me devra une véritable bonne fortune. Je te vois d’ici rire comme une folle, et c’est pourtant la vérité que je dis : n’est-ce pas une bonne et surtout rare fortune de rencontrer la modestie et la simplicité jointes au mérite le plus éminent, à demi-caché dans une humble condition (mon protégé est secrétaire particulier de M. l’ambassadeur de France, dont la femme est intimement liée avec lady Wilmot, mère de mes élèves) ?

« Lors d’un séjour assez long que M. l’am-