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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/330

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hommes de cœur comme M. Ducormier sont, je crois, fort rares à rencontrer.

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Nous laissons le lecteur s’imaginer les délicieux épanchements de la mère et de la fille, lorsque seule à seule elles s’entretinrent de la prochaine délivrance du colonel Duval.

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FIN DU TROISIÈME VOLUME.