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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/99

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duc aimaient, en gens de goût, la belle littérature, et qu’ils étaient d’ailleurs de ces personnages qui honorent infiniment les compagnies littéraires et roturières, toujours empressées de respectueusement accueillir les grands noms, en raison du lustre qu’ils apportent à ces gens de si peu. »

La coterie rassemblée autour de madame de Robersac et de M. de Morsenne se composait donc d’hommes de haute naissance, temporairement ralliés au gouvernement d’alors par la pairie dont ils jouissaient, et de précieuses politiques (Molière est de tous les temps) ou de précieuses littéraires.

Dans ce cercle, moitié tribune, moitié académie, on remarquait encore quelques très-