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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/108

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timerai toujours très heureux de me mettre à votre disposition, ainsi qu’à celle de vos amis même non ralliés : dites-leur bien que, si nous ne faisons pas pour leurs idées tout ce que nous désirons, c’est que nous sommes empêchés par quelques vieux restes de préjugés révolutionnaires dont est encrassée cette niaise bourgeoisie, avec laquelle il nous faut encore malheureusement compter ; nous ne pouvons la heurter de front en ce moment, mais nous en aurons peu à peu raison d’une façon ou d’une autre. Patience, patience : le clergé reprendra son influence, l’aristocratie la sienne, et, de bons bataillons aidant, nous musèlerons bourgeois et faubouriens, afin de replacer enfin sur ses seules bases solides et durables la société ébranlée jus-