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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/151

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— Qu’est-ce à dire, monsieur ? est-ce une plaisanterie ?

— Permettez-moi de continuer, monsieur : vous êtes, non-seulement un très-grand seigneur… mais vous êtes fort riche… puissamment riche.

— Eh bien, monsieur, que concluez-vous de cela ?

— Je conclus, monsieur, qu’il y a de vous à moi une immense distance, car je ne suis qu’un pauvre diable de secrétaire, sans nom, ni sou, ni maille.

— Il ne s’agit pas, monsieur, d’établir ici ces différences de position sociale.