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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/205

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À cette lettre étaient jointes les lignes suivantes d’Héloïse Bonaquet :

« Je ne puis que joindre mes recommandations à celles de mon mari, et vous supplier, monsieur, d’avoir une confiance absolue dans les conseils qu’il vous donne. Permettez-moi de vous réitérer encore l’assurance de notre bien vive estime pour vous et votre charmante femme, si complètement digne de votre affection et de notre tendre et constant intérêt.

« Adieu, monsieur, je regretterais doublement que l’état très-alarmant d’une personne de ma famille soit cause du départ précipité de M. Bonaquet, si je n’avais la plus entière confiance dans vos