Aller au contenu

Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/227

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

« — Et avec qui M. Ducormier s’est-il battu ? » demanda ma mère.

« — Avec Saint-Géran, — reprit le chevalier. — Ce pauvre comte a reçu dans les côtes un coup d’épée fort dangereux, dit-on. Je ne comprends pas, en vérité, comment Saint-Géran s’est commis à ce point, comment il a eu l’incroyable et ridicule condescendance de…

« — De recevoir ce coup d’épée dans les côtes ? » demandai-je à M. de Saint-Merry.

« Non, ma chère filleule, — me dit-il ; — je ne comprends pas comment Saint-Géran a daigné accepter une rencontre avec