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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/230

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dans une mélancolie profonde, et je tirai très-fort les oreilles de Préciosa, qui, à mon retour, se permit de m’accueillir en gambadant de joie.

Le lendemain (c’était hier), je dis à ma femme de chambre :

« — Faites demander si M. Ducormier est chez lui ; j’aurais à le prier de me chercher quelques livres dans la bibliothèque.

« — Mais madame ne sait donc pas ?

« — Quoi, mademoiselle ?

« — Mais M. Ducormier part, à ce qu’il