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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 4, 1851.djvu/277

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Quant à mon père… hélas ! je termine cette lettre comme toutes les autres, rien de nouveau ; la même incertitude règne toujours sur son sort. Mieux vaut peut-être encore cette incertitude, si navrante qu’elle soit, qu’une certitude qui briserait jusqu’au plus vague espoir.

Adieu, bien tendrement adieu, mon Anatole bien-aimé, mon amour, mon époux !

Ta femme, ta bienheureuse femme,
Clémence Ducormier.