Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
I
Environ trois mois après les évènements que nous venons de raconter, le docteur Bonaquet se promenait dans son cabinet d’un air inquiet, consultant de temps à autre d’un regard impatient la pendule, qui marquait alors cinq heures du soir. Tantôt il s’asseyait d’un air pensif, tantôt, allant