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tion ! Soutenez donc la même thèse que le prince développe là ! il vous en saura gré : c’est un très beau thème.
DUCORMIER, avec trouble.
Il est consolant, Monseigneur, d’entendre un prince qui doit être appelé un jour à gouverner les hommes, développer des idées qui font tant d’honneur à son esprit et à son cœur.
LA COMTESSE DUCORMIER, bas à son mari.
Vous dites cela du bout des lèvres et sans entraînement ; mais allez donc !
LE PRINCE ROYAL un peu surpris de la froideur de Ducormier, et s’adressant à celui-ci.
Est-ce que vous ne partagez pas mes idées,