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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 5,1851.djvu/68

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doute de l’un de ces crimes effrayants dont parlait tout-à-l’heure lord Bumberg.

LA PRINCESSE DE LOWESTEIN.

Oui, monseigneur. Le baron de Spor, que j’ai vu ce matin, et qui arrivé de Paris, m’a dit que le triste mais puissant intérêt qui s’est jadis attaché aux fameux procès de M. de Laroncière et de madame Lafarge entre autres, ne serait rien auprès de la curiosité mêlée de terreur que doit inspirer celui-ci. Les débats ont dû commencer avant-hier, à ce que m’a dit M. de Spor, et il a eu l’excellente idée de me faire adresser ici un journal judiciaire de Paris, appelé l’Observateur des Tribunaux qui rendra compte du procès jour par jour.