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Page:Sue - Les misères des enfants trouvés III (1850).djvu/312

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Mademoiselle Isabeau : — on voit, on écoute, on se souvient, on confie cela à des amis… comme un secret… et puis après on ne répond de rien.

Un pressentiment presque certain me dit que le soir, au thé que donnait Mademoiselle Juliette, je devais entendre de curieuses révélations.

En sortant de chez Madame Wilson, je me hâtai de me rendre rue du Marché-Vieux, près de la rue d’Enfer, afin de visiter la pauvre femme paralytique chez qui la princesse de Montbar devait se rendre le lendemain.