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Page:Sue - Mathilde, tome 4.djvu/323

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CHAPITRE XVII.

LE TESTAMENT.


Pendant ma maladie, les lettres suivantes de madame de Richeville étaient arrivées à Maran…

Blondeau, les voyant cachetées de noir, ne me les remit que lorsque je fus hors de danger. Craignant que leur contenu ne fût sinistre, elle n’avait pas voulu m’exposer à une émotion peut-être dangereuse.

Les pressentiments de cette femme si bonne et si dévouée ne l’avaient pas trompée.

Paris, deux heures, janvier 1831.

« Je vous écris un mot à la hâte, ma chère Mathilde, pour vous faire part d’un bien douloureux événement.