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Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894, tome 2, partie 1.djvu/73

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Décidément, son démon protecteur l’abandonnait. Ne pouvant se rendre invisible ni traverser la muraille, il frappait celle-ci, furieux, à coups de poing redoublés. (Page 82).

ticiens, ainsi qu’on appelle les astrologues, comme une science vaine, une erreur pernicieuse, résultat « d’une société empestée de l’homme avec les démons, un art diabolique, que le chrétien doit absolument répudier et fuir. » — « Les astrologues, quoiqu’ils recherchent et découvrent quelquefois, à l’époque d’une naissance, la véritable position des astres, dès qu’ils s’efforcent d’en tirer des prédictions de nos actions ou du résultat de nos actions, tombent dans la plus grossière erreur, et vendent aux simples une misérable servitude. Quiconque, en effet, entre libre chez un de ces mathématiciens, lui donne de l’argent pour en sortir esclave de Mars ou de Vénus, ou plutôt esclave de tous les astres à la fois… Il est facile de noter, au moment d’une