Aller au contenu

Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/949

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


la mort d’un possédé pactisant

une fois, c’est tout, et encore seulement lorsque je discutais avec un démon. Cette fameuse phrase n’est même pas dans le rituel.

En effet, pour avoir raison des démons, nous récitons simplement les prières inscrites au rituel. Par moment, les démons parlent par la bouche des possédés, et alors le prêtre engage avec eux une discussion.

Chose étrange, quand nous faisions une faute de latin, nous n’avions pas fini notre phrase que déjà nous étions repris.

Niera-t-on la présence des démons, puisque la jeune fille dont ils empruntaient la bouche est illettrée ?