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Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. II.djvu/119

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je chatouillais, frottais et irritais le gros et fringant clitoris de telle manière que je le fis bientôt pisser abondamment : ceci, cependant, loin de l’apaiser et de la satisfaire, ne fit que l’émoustiller et l’exciter ; de sorte qu’après cela, il n’y eut plus moyen d’échapper à ses griffes. Elle me tenait d’ailleurs par la bonne poignée, et je ne pouvais pas me permettre, comme Joseph, de m’enfuir et de la laisser en plan.

» Pour la calmer, il ne me restait donc plus qu’à me mettre sur elle et à lui administrer un autre type de massage, ce que je fis avec autant de bonne grâce que possible, bien que, comme vous le savez tous, je ne me sois jamais soucié des femmes, et surtout des vieilles femmes. Pourtant, pour une femme et une vieille femme, elle n’était pas si mal, après tout. Ses lèvres étaient épaisses, charnues et bombées ; le sphincter ne s’était pas relâché avec l’âge, le tissu érectile n’avait rien perdu de sa force musculaire, sa contraction était puissante et le plaisir qu’elle procurait n’était pas à dédaigner. J’ai donc versé deux libations en elle avant de m’éloigner, et pendant ce temps, après avoir ronronné, elle s’est mise à miauler, puis à hululer comme un hibou, tant le plaisir qu’elle éprouvait était grand.