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Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. II.djvu/53

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une femme par-derrière, pour le plaisir que je ressentais dans des deux côtés.

Mon inquiétude avait atteint son paroxysme. Mon cerveau chancelait, mon corps fondait, le lait brûlant de la vie montait à nouveau, comme une sève de feu, mon sang bouillonnant montait jusqu’à mon cerveau, me rendant fou. J’étais épuisé, je m’évanouissais de plaisir : je tombais sur lui, masse inerte !

En quelques minutes, j’étais de nouveau moi-même, impatient de prendre sa place et de lui rendre les caresses que je venais de recevoir.

J’arrachai les vêtements de son corps, de sorte qu’il se retrouva rapidement aussi nu que moi. Quel plaisir de sentir sa peau contre la mienne de la tête aux pieds ! De plus, le plaisir que je venais de ressentir n’avait fait qu’augmenter mon empressement, si bien qu’après nous être serrés l’un contre l’autre et avoir lutté ensemble pendant quelques instants, nous nous roulâmes sur le sol, nous tordant, et frottant, et rampant et nous tortillant, comme deux chats échauffés s’excitant mutuellement dans un paroxysme de rage.

Mais mes lèvres étaient impatientes de goûter son phallus, un organe qui aurait pu servir de modèle à l’énorme idole du temple de Priape, ou au fronton