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passe sur la surface lisse des eaux, et je sentais ma peau frissonner de plaisir.

J’étais allongé sur quelques coussins du sopha, ce qui me mettait à la hauteur de Teleny ; il mit rapidement mes jambes sur ses épaules, puis, baissant la tête, il commença à embrasser, puis à introduire sa langue pointue dans le trou de mon derrière, me faisant frissonner d’un plaisir ineffable. Puis, après avoir habilement préparé le trou en le lubrifiant bien autour, il essaya d’y enfoncer le bout de son phallus, mais il eut beau appuyer fort, il n’y parvint pas.

« Laisse-moi l’humidifier un peu, il s’insérera plus facilement. »

Je l’ai repris dans ma bouche. Ma langue roula habilement tout autour. Je l’aspirai presque jusqu’à la racine, le sentant prêt à tous les coups, car il était raide, dur et fringant.

« Maintenant », dis-je, « jouissons ensemble de ce plaisir que les dieux eux-mêmes n’ont pas dédaigné de nous enseigner. »

Les extrémités de mes doigts étirèrent alors au maximum les bords de ma petite fosse inexplorée.