vent. Si l’estomac étoit si fort affoibli, comme cela arrive quelquefois quand la maladie a fait de grands progrès, qu’il ne pût pas même soutenir ces aliments sans de grandes angoisses, il faut donner une nourrice au malade, ce qui en a quelle quefois tiré de l’état le plus fâcheux. On redonne de la force & de l’action aux fibres relâchées, par l’usage d’un vin avec le fer, le kina & la cannelle : dès que le malade, a assez de force pour se promener, il lui est extrêmement utile d’aller dans un air de campagne très-pur, ou de montagne[1] ».
IL y a quelques maladies dans lesquelles il est difficile de démêler exactement la cause, & par-là même de déterminer l’indication, & de régler le traitement, mais qui se guérissent
- ↑ Medicus annuus, t. 2, p. 216.