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Page:Tissot - La Capucinière, ou le bijou enlevé à la course, 1820.djvu/98

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La Capucinière.

Mais ce jour-là, je revis mon Aglaure…
Ivre d’amour, et mourant sur son sein,
Je m’écriai : C’en est fait, très-saint Père !
Oui, je veux bien me faire capucin,
Mais que ses bras soient ma Capucinière.


FIN