Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol26.djvu/115

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Et voilà, en réfléchissant au genre de misère de la ville que je ne pouvais soulager, j’ai vu que sa cause première est que je prends aux habitants de la campagne leur nécessaire et amène tout dans la ville, et que la deuxième cause, c’est qu’en ville, en profitant pour mon luxe effréné de ce que j’ai amené de la campagne, je séduis et déprave ces habitants de la campagne qui viennent ici pour reprendre, par un moyen quelconque, ce qu’on leur a pris à la campagne.