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toires, prières que nous n’avons plus le temps de satisfaire.
Voici le mode d’organisation des réfectoires (c’est ainsi du moins que nous avons agi) : après avoir trouvé un village des plus pauvres, nous y arrivons, allons voir le staroste, lui déclarons notre intention et invitons un vieux paysan quelconque que nous questionnons sur l’existence matérielle des familles d’un bout du village à l’autre. Le staroste, sa femme, les vieux paysans et quelques curieux qui viennent là nous décrivent la situation des ménages. — Allons du côté gauche : Maxime Antokhine, comment vit-il ? — Mal. Des enfants, sept personnes dans la famille. Il n’a pas de pain depuis longtemps. Dans ce ménage-là il faudrait prendre la vieille et le garçon. —