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Page:Trotter - Affaire de Plymouth et de Béthesda- Lettre à un ami.djvu/51

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sentiment à leur égard, et encore moins pourrait-il y avoir la pensée de mépriser « leurs cheveux blancs, » ou d’oublier le commandement : « De même vous qui êtes jeunes, soumettez-vous aux anciens. » Mais là où la gloire de Dieu et l’honneur de son Christ sont en question, toutes les considérations moins importantes doivent être mises de côté.

Que le Seigneur nous regarde d’en haut et ait pitié de nous et nous accorde la bénédiction et le relèvement ; et s’il tarde, cependant il le fera certainement en son propre temps et à sa manière. Puissions-nous, par sa grâce, nous humilier sous sa main qui nous châtie dans l’amour. Puissions-nous posséder nos âmes par la patience, et puissent les châtiments de son amour produire en nous, par la puissance du Saint-Esprit, toute cette repentance, cet ardent désir, ce retour sur nous-mêmes qui montreront enfin que nous sommes purs au moins dans cette affaire !

Que le Seigneur le veuille et nous accorde santé et guérison pour l’amour de son nom béni.

Je suis toujours, cher frère, votre affectionné

W. TROTTER.

à Thomas Grundy.



FIN