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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/24

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xxii
PREFACE.

muſe avec la mienne, & ce que je puis ſouhaiter de plus heureux pour moi, c’eſt que le Public ait autant de ſatisfaction à lire cet ouvrage, que j’en ai eu à le compoſer.

Au reſte je ſuis perſuadé qu’il eſt encore bien des gens à qui ce genre d’écrire ne déplaira pas. Cela me ſuffit & je n’écris que pour un certain nombre de Lecteurs. Il eſt des livres qui doivent être faits pour être entendus de tout le monde : tels ſont un traité de cuiſine, un Catéchiſme. Mais il en eſt d’au-