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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/8

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vi
PREFACE.

dans leur intimité. Dès lors j’ai cherché continuellement à en percer l’écorce & à en ſonder l’être ; à les préſenter dans leur rapport avec nous, & à ouvrir ainſi une ſource nouvelle d’un intérêt qui fût plus ſoutenu par la continuité du ſentiment & des images, que par la complication de l’intrigue & par la ſtérile abondance des faits.

Telle eſt la marche que j’ai ſuivie, & c’eſt à quoi je prie de ſonger ceux qui voudront bien me lire. Cette attention ne ſervira pas peu à leur faire remarquer la dif-