Aller au contenu

Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/179

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
170
UN ÉTÉ À LA CAMPAGNE

Adieu, chère Albertine ; je t’écris à l’issue du déjeuner ; je pourrais presque dater ma lettre du champ de bataille.

À toi.
Adèle.