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Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/236

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CONCLUSION


de son vis-à-vis. Sa biographie émaille les étalages de tous les libraires.

Est-ce tout ?

Un mot encore. Voici de quelle façon le plus charmant poëte du dix-septième siècle commence un de ses contes :


Je dois trop au beau sexe, il me fait trop d’honneur
De lire ces récits, si tant est qu’il les lise ;
Pourquoi non ? C’est assez qu’il condamne en son cœur
  Celles qui font quelque sottise ;
  Ne faut-il pas, sans qu’il le dise,
  Rire sous cape de ses tours,
  Quelque aventure qu’il y trouve ?
  S’ils sont faux, ce sont vains discours,
  S’ils sont vrais, il les désapprouve.


Que ce commencement soit notre conclusion, et serve en même temps de passeport à nos héroïnes.


FIN.