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mère, à deux pas de son grand-père, il avait dormi tant de nuits heureuses, passé tant de journées bienfaisantes.
Puis, mélancoliquement, marche à marche, il descendit l’escalier.
Dans la salle à manger, on terminait presque le potage.
Roger s’assit vis-à-vis de son père, entre sa mère et M. Lecherrier. Tous trois lui souriaient d’un air de connivence.
— Eh bien, mon petit ! — demanda Taillard, — j’espère que tu es content ?
— Je te crois ! — riposta Gégé, avec un flegme fort au-dessus de son âge.
FIN